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Depuis le 18e siècle, Anne Bonny fascine. Femme de mauvaise vie pour le capitaine Johnson, femme puissante dans l’imaginaire contemporain, son histoire a donné lieu à de nombreuses interprétations. La dernière nuit d’Anne Bonny joue avec les archives et les registres pour explorer la fascination qu’elle suscite, l’écart qui peut se creuser entre une figure historique et ses réinterprétations contemporaines. Sans jamais oublier de faire battre le cœur, et de raconter une grande histoire d’amour et de liberté.

Notre avis

Au-delà d’une production magnifique, digne du grand cinéma, « La dernière nuit d’Anne Bonny » est d’abord une bonne histoire, une très très bonne histoire d’amour et de liberté. L’autrice et journaliste Claire Richard (« Les chemins de désir », « Des mains heureuses ») recolle les bouts à l’aide de son imagination. Le récit est entrecoupé par les interventions de deux historien·nes qui questionnent la notion même “d’Histoire” en la confrontant à celle de fiction. Forcément, une femme pirate, ça fascine. Le destin d’Anne Bonny a donc donné lieu à de nombreuses interprétations. Le fil rouge du récit est la dernière nuit d’Anne Bonny, interprétée par Catherine Hiegel de la Comédie-Française. La vieille dame devenue maquerelle se raconte à une jeune fille de joie qu’elle emploie (Apolline, jouée par Alice Belaïdi). Sentant la mort approcher, elle désire rectifier la vérité sur son histoire. Riche, merveilleux pour l’oreille, ce podcast est rempli de détails comme autant d’inspirations pour l’auditeurice. La réussite est un travail d’équipe : il y a le talent indéniable des comédiens, celui des réalisateurices et des techniciens ainsi que l’écriture ingénieuse de Claire Richard, généreuse, qui offre plusieurs niveaux d’écoute.
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LA DERNIÈRE NUIT D’ANNE BONNY

DESCRIPTION

Depuis le 18e siècle, Anne Bonny fascine. Femme de mauvaise vie pour le capitaine Johnson, femme puissante dans l’imaginaire contemporain, son histoire a donné lieu à de nombreuses interprétations. La dernière nuit d’Anne Bonny joue avec les archives et les registres pour explorer la fascination qu’elle suscite, l’écart qui peut se creuser entre une figure historique et ses réinterprétations contemporaines. Sans jamais oublier de faire battre le cœur, et de raconter une grande histoire d’amour et de liberté.

NOTRE AVIS

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Au-delà d’une production magnifique, digne du grand cinéma, « La dernière nuit d’Anne Bonny » est d’abord une bonne histoire, une très très bonne histoire d’amour et de liberté. L’autrice et journaliste Claire Richard (« Les chemins de désir », « Des mains heureuses ») recolle les bouts à l’aide de son imagination. Le récit est entrecoupé par les interventions de deux historien·nes qui questionnent la notion même “d’Histoire” en la confrontant à celle de fiction. Forcément, une femme pirate, ça fascine. Le destin d’Anne Bonny a donc donné lieu à de nombreuses interprétations. Le fil rouge du récit est la dernière nuit d’Anne Bonny, interprétée par Catherine Hiegel de la Comédie-Française. La vieille dame devenue maquerelle se raconte à une jeune fille de joie qu’elle emploie (Apolline, jouée par Alice Belaïdi). Sentant la mort approcher, elle désire rectifier la vérité sur son histoire. Riche, merveilleux pour l’oreille, ce podcast est rempli de détails comme autant d’inspirations pour l’auditeurice. La réussite est un travail d’équipe : il y a le talent indéniable des comédiens, celui des réalisateurices et des techniciens ainsi que l’écriture ingénieuse de Claire Richard, généreuse, qui offre plusieurs niveaux d’écoute.

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