Le podcast des meufs de cités : présentes dans toutes les sphères et pourtant complètement invisibles. Personne ne nous fait de place ? Pas de problème, on va la
créer nous-même. Alors je me présente. Je m’appelle Annabelle, j’ai 25 ans, je suis née et j’ai grandi dans la même cité, habitée auparavant par mes grands-parents et mes parents. J’ai évolué avec très peu de modèles pour me construire. Je suis une femme, métissée, bisexuelle & banlieusarde. Que demander de plus pour se sentir à la
fois invisible et pointée du doigt ? Si vous écoutez ce podcast, s’il existe aujourd’hui c’est parce que je suis frustrée. Je suis frustrée que l’on n’existe pas. Mais ce que je sais faire de mieux, c’est de créer les choses que j’ai besoin de voir exister. Alors c’est parti. Faites de la place, parce que maintenant vous allez savoir qu’on est là !
Notre avis
Est-ce que tu sais me citer 5 meufs de banlieue connues et reconnues pour ce qu’elles font ? Non ? C’est bien là tout le problème. Ce constat, il est posé par Annabelle, 25 ans, née et ayant grandi en cité, bisexuelle, racisée… Une identité multiple et riche qui lui a valu plus d’une fois de se sentir le cul entre milles chaises, « à la fois invisible et pointée du doigt ». Un sort qui est souvent réservé aux femmes de banlieues et auquel Annabelle compte bien mettre un terme avec son podcast « On est là » qui donne la parole à toutes ces meufs qu’on ne voit pas, mais qui existent bel et bien.
Dans son podcast, Annabelle les met enfin au devant de la scène pour « appeler le monde à les voir, les entendre ». On les écoute parler de leur vie, leur enfance, leurs projets, leurs rêves… Elles cassent le mythe de la femme de cité et donnent enfin la représentation nécessaire pour inspirer toutes femmes et filles qui les écouteront et les inciter à ne plus “attendre que les autres les respectent pour avancer”.
Le podcast des meufs de cités : présentes dans toutes les sphères et pourtant complètement invisibles. Personne ne nous fait de place ? Pas de problème, on va la
créer nous-même. Alors je me présente. Je m’appelle Annabelle, j’ai 25 ans, je suis née et j’ai grandi dans la même cité, habitée auparavant par mes grands-parents et mes parents. J’ai évolué avec très peu de modèles pour me construire. Je suis une femme, métissée, bisexuelle & banlieusarde. Que demander de plus pour se sentir à la
fois invisible et pointée du doigt ? Si vous écoutez ce podcast, s’il existe aujourd’hui c’est parce que je suis frustrée. Je suis frustrée que l’on n’existe pas. Mais ce que je sais faire de mieux, c’est de créer les choses que j’ai besoin de voir exister. Alors c’est parti. Faites de la place, parce que maintenant vous allez savoir qu’on est là !
NOTRE AVIS
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Est-ce que tu sais me citer 5 meufs de banlieue connues et reconnues pour ce qu’elles font ? Non ? C’est bien là tout le problème. Ce constat, il est posé par Annabelle, 25 ans, née et ayant grandi en cité, bisexuelle, racisée… Une identité multiple et riche qui lui a valu plus d’une fois de se sentir le cul entre milles chaises, « à la fois invisible et pointée du doigt ». Un sort qui est souvent réservé aux femmes de banlieues et auquel Annabelle compte bien mettre un terme avec son podcast « On est là » qui donne la parole à toutes ces meufs qu’on ne voit pas, mais qui existent bel et bien.
Dans son podcast, Annabelle les met enfin au devant de la scène pour « appeler le monde à les voir, les entendre ». On les écoute parler de leur vie, leur enfance, leurs projets, leurs rêves… Elles cassent le mythe de la femme de cité et donnent enfin la représentation nécessaire pour inspirer toutes femmes et filles qui les écouteront et les inciter à ne plus “attendre que les autres les respectent pour avancer”.